Brèves de juillet-2-

Quatre Saisons (suite) Ecole Jean-Laroche
Alors que j’estime tout-à-fait pertinente la dénomination Jean Laroche pour l’école en construction au regard de ce que fut l’investissement de cette personnalité en tant qu’enseignant et secrétaire de mairie au service de la commune, j’ai pu lire dans Centre Presse du 27 juillet, à propos de l’avancement sans problème des travaux: « une véritable fourmilière s’active entre les différents corps de métiers pour parachever ce que certains ont qualifié par le passé de chantier pharaonique de quelque 6,4 M€,dossier pour lequel le maire Jean-Philippe Kéroslian n’a jamais caché son désaccord et son embarras ».
Voilà effectivement un point de vue qui s’écarte singulièrement de la continuité républicaine dont je parlais précédemment. La municipalité fait contre mauvaise fortune bon (ou pas bon) coeur or toute école de cette dimension, à effectif égal, entre dans cette fourchette de prix. Le choix effectué n’était pas le plus onéreux au regard du rapport qualité/prix et je persiste à penser que quand ce bâtiment sera réalisé il constituera qualitativement un espace exemplaire au service des enseignants et des jeunes castonétois(es) dont ils auront en charge l’éducation.
Une réalisation de cette importance, conçue pour les 40 ou 50 années à venir, s’inscrit dans le cadre d’une réelle utilité publique. Serait-elle trop belle et trop dispendieuse? Peut-être certains auraient-ils préféré  s’en tenir au rafistolage de la précédente école du stade, passoire thermique vieille d’un demi-siècle, ou à la construction d’un bâtiment minimal répondant tout juste aux besoins,  ou encore à l’abandon de ce type d’investissement au bon vouloir du privé?
Il n’est pas inutile de rappeler que les municipalités conduites précédemment par MM. Rey puis Geniez s’étaient illustrées par une action reconnue et saluée de tous en direction des écoles publiques d’Onet. Je souhaite que cela se poursuive. Je déplorerais personnellement que ce type de polémique puisse perdurer car je la considère comme relevant d’une époque qui devrait s’avérer heureusement révolue ce qui semble ne pas être dans l’air du temps.

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